Cette mesure a été prise "à titre conservatoire jusqu'à nouvel ordre", le CSC estimant que ces chaînes "comportent une importante incidence culturelle et sociale" au Burkina Faso. Le CSC a donc souhaité examiner plus en détail la question avant d'autoriser leur diffusion.
"La loi nous impose de connaître de la question avant d'autoriser la diffusion de ces chaînes", a indiqué le CSC. Cette décision intervient dans un contexte d'évolution du paysage audiovisuel burkinabè avec l'arrivée de nouveaux acteurs comme Canal+.
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Le CSC entend ainsi s'assurer que le contenu proposé par ces nouvelles chaînes s'inscrit dans le respect de la réglementation en vigueur et des enjeux socioculturels du
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